Fernandez UE4 9ème cours 04/04/08
Sommaire
La connaisance historique(deuxième grande partie du cour global, suite)
Histoire et narration
Le narrativisme se développe à la fin du siècle, fin des années 1970, le débat ressurgit au sujet de la narration, du récit, du discour narratif sous l'influence indirecte paradoxale de Roland Barthe, sénicologue, des philisophes com Jacques de Rida ou Paul Ricceur.
L'histoire est une forme de littérature, faite sous une forme narrative: succession d'évènements selon une trâme, c'est la relation intelligible d'une succession d'évènements. Mais la narrationest différente des représentations de l'histoire.
Paul Ricceur, Le temps du récit, 1997. Pour certains, me texte historique est un discours qui ne se distingue pas vraiment du discours de fiction. Certains de ces analystes font un distinction entre le discour narratif de fiction et le discour narratif historique qui contient la vérité.
La similitude entre fiction et histoire serait une nécessaire ressemblance, pour Paul Ricceur, la narration n'est pas une simple comodité mais la narration historique voit sa forme et son contenu comme un tout inextricable, et la narration est une part essentielle du récit historique.
La forme narrative constitue le contenu de l'historique selon Hayden White, et savoi si les évènements s'intègrent dans un récit de même nature, c'est la thèse de Ricceur: l'analyse de la synthaxe et du discours narratif nous amène à un code communicatif qui seul peut rendre compte de la structure de l'historique. C'est à ce titre que dans la pratique du récit, la configuration de la narration correspond à la narration des faits.
La narration n'est pas une simple commodité mais obéi à des normes et porte un grand nombre d'interprétations. Ce n'est pas un facteur neutre selon Ricceur. Discour narratif n'est pas une simple chronique, amis se structure et se construit par rapport à des évènements qui leur donne du sens.
Récits: mythique, historique, fictionnel -- conceptualiser les distinctions entre ces récits et Ricceur veut résoudre l'énigme des hommes et du temps. Les évènements historiques seraient alors des narrations, c'est ce qui les ditingue des faits naturels. La dimension narrative est donc ce qui distingue l'hitoire des autres sciences humaines et sociales.
Pour Ricceur histoire et fiction se réfèrent à deux manières différentes d'un même trait d'expérience individuel: une orale, l'autre écrite. Mais les deux contribuent à la redistribution de notre condition historique. la narrtivité est donc suffisante pour exprimer l'historicité. Les thèses de Ricceur sussite le sarcasme des Annales. L'historien particulier peut dire que le récit du vraie est son propre récit, d'où des problèmes dûs au "linguisme turn", on aboutit à un hyper relativisme. La question est de savoir jusqu'à quel point le pacte tacite entre l'histoire et le récit du témoin est respeccté. La narration touche d'abord la mémoire et après l'histoire.
Le problème de la représentation entre les deux qui surgit au moment même de l'écriture du texte et de la réalisation. Michel de Certeau voit une phase documentaire, explicative et littéraire dans ce processus. Mais il faut que se narratif soit articulé autour de ces deux précedents. La question du récit sur le fait qu'il soit comme nécessaire et suffisant à l'histoire, ce qui doit être relativisé et interrogé.
Le problme central de la représentation est de savoir si l'histoire est un récit du passé humain, réfléchit entièrment par la narration ou si l'intelligence essentielle de l'histoire se fait par le récit. Déjà M. de Certeau voyait qu'il fallait différentes grilles d'analyse pour étudier, ce qui est différent du récit, il établit le "régime différent d'historicité".
L'histoire "science" comme représentation du processus temporel d'historicité est incomplète par la trâme, par les processus des états sociaux prenant en compte reproduction et changement sur le jeu de la relation dialectique acteur/société. Le récit est une forme symplifiée, localisée pour représenter la succession du preocessus historique en lui même.
Avec l'histoire récit se pause le problème de la référencialité de quelques récits. Si on part de l'idée que le récit est l'histoire, alors il ne peut avoir de référent exacte. Le récit histoire serait donc ce qui est vraissemblable. Or qu'on accepte ou pas cela, le récit histoire a toujours le problème de sa référence et de voir si ce qui est narré représente autre chose que oit même. Mais qui peut donner la certification de la réalité? Ainsi on voit une volonté de fournir une série de preuves à l'appuit d'une conclusion, ce sont les principes de l'argumentation même.
L'argumentation passe par le contournement des fausses facilités, et explique que l'histoire s'est tiser la reconstruction d'une éalité, et l'expliquer. L'histoire argumentative raconte un processus et justifie l'écriture, c'est le travail littéraire ou l'on raconte quelque chose. L'histoire est un ensemble de réponses continues et incessantes de "comment et pourquoi". Le récit est une ressource, amis à considérer parmis d'autre, elle permet donc de décrir, et on argumente pas à partir d'une obsevation empirique.
Troisième partie du cour: Les instruments de l'analyse historique(merci à Didier, élève du parcour PSE, pour ses notes)
La méthode, principe du canal historique peut sembler malmener par la fragmentation des paradigmes de concevoir des formes. Ce sont des garanties de la cohésion de la discipline. Il s’agit ici de voir la méthode historique scientifique sociale et le processus méthodologique du processus historique.
I- Une méthode scientifique :
Comment obtenir de la connaissance a travers d’une demande que cette procédure pourra être expliquée ? Cela signifie comment rendre compte de la réalité. En proposant des affirmations démontrables. Il existe une conscience scientifique dès lors qu’on :
- définit clairement le problème
- l’analyse de manière systémique la réalité
- essaye de faire une expérimentation
Ce n’est qu’après toutes ces étapes que l’on peut essayer de trouver des solutions
C’est ce qu’on appelle un protocole scientifique car cela cadre l’étude empirique et la mise en lumière des affirmations.
Les problèmes poser par cette méthode historique ont beaucoup pré-occupé les historiens qui ont depuis le milieu du XIX siècle ont essayé d’établir les règles d’une méthode historique : Seignobos, Langlois, Henri Ber, Marc Bloch, Lucien Febvre, Fernand Braudel, Charles Tilly, Bernard le Petit.
La possibilité d’établir et d’appliquer une méthode scientifique-sociale à toujours été très discuter et à diviser les historiens et susciter les sarcasmes de divers philosophes. La méthode de l’historien possède toutes les caractéristiques pour la méthode générale scientifique sociale. Cette méthode est la traduction d’une discipline concrète des caractères généraux de la méthode historique c'est-à-dire un reflet des caractéristiques générales avec des points singuliers comme dans la nature des sources ou l’histoire diffère des autres sciences sociales.
Fin d’une méthode qui s’attache à dénoncer les points scientifiques c’est la méthode des paradigmes. Méthode qui peut être comme l’ensemble de règles de procédures, de code de langage contemporain ce qui ne signifie pas, pas de règles de travail à suivre mais des normatifs qui sous entendent le travail.
Question qui s’est poser pour la méthode spécifique et scientifique sociale sur le processus méthodique : jusqu’ à quel point le résultat de la connaissance scientifique est elle garantie, et faussée par le sujet qui apporte la connaissance, par ses préjugés, ses intérêts, ses préférences ?
Est-il possible qu’il appartient à une connaissance entièrement objective qui a fait couler beaucoup d’encre. Question possible qu’il appartient de faire de la science en relation avec les objets de connaissance déterminée surtout les sciences sociales ou humaines. Entraine de fait à se poser la question sur l’objectivité contrairement aux sciences dures, car on n’est pas à l’abri de conflits d’interprétation.
La science offre de tout au même titre que les autres branches de la connaissance c'est-à-dire qu’il ne faut pas laisser la science au scientifique car il faut faire des efforts pour rester en alerte. (Appel du prof a notre civisme).
Les méthodes scientifiques qui sont à éliminer sont les sujets de la connaissance à concevoir des règles pour établir une distinction entre le producteur de l’énoncée et le lecteur. La méthode scientifique à comme caractère essentiel sa transparence. Le processus doit être exprimé avec clarté en exposant les différentes étapes suivies pour acquérir cette connaissance. Il n’y a pas de méthode si le processus et le résultat ne peut être compris inter subjectivement. La méthode scientifique est fondée sur l’objectivité, ses divergences objets empiriques saisissable par l’expérience. L’objectivité est une construction selon le philosophe allemand Habermas car il affirme que ce n’est aps une question de volonté mais bien de méthode.
Il faut distinguer deux méthodes :
• Inductive
• Déductive ou hypothético-déductive
La méthode déductive est celle qui par l’existence de faits, réalité présente des homologies très commun permettant d’établir qu’il existe des phénomènes. La découverte des utilisations et sa définition se formulent selon des « Lois Naturelles », objectif de la méthode scientifique. Il faut que ces lois naturelles aient une valeur dans un environnement particulier, elle part des faits particuliers vers des généralités, des cas qui doivent de tenir aux lois générales. C’est la prédiction de l’universalité d’un comportement particulier. Cette méthode inductive proposé est soutenue par des philosophes et physiciens comme J. Stuart Mill, un économiste des années 1830-1850. Ce pendant la méthode inductive à toujours été très critiqués comme inapte par la connaissance par Karl Pooper.
Face à cette méthode se dresse une autre méthode :
C’est l’économiste autrichien avec K Menger dans les années 1870 qui l’invente et donne lieu en Allemagne à la querelle des Méthodes.
Cette méthode a comme principe que la multiplication des occurrences est un phénomène. On ne peut pas inférer la globalisation des relations qu’ils peuvent avoir entre eux. A ce compte on comprend bien que la connaissance ne part pas tant de l’observation mais d’une prédiction hypothétique établissent qu’il existe des relations déterminée entre les faits qui doivent être éclatés et vérifiés.
La méthode déductive est celle qui part de l’universel vers le particulier. Ce dont il s’agit c’est que cette méthode prétend arriver à l’explication du phénomène comme l’explication de certaines lois générales au besoin avec impression d’appareil mathématique pour trouver une logique. Le seul fait que cette hypothèse soit démentie par un seul fait prouve la fausseté du raisonnement.
Karl Pooper : la falsification de sa thèse c’est si une hypothèse peut être non lieu elle devient fausse.
Est difficile à affirmer qu’une hypothèse est vraie ? Que l’expérimentation est œuvre de connaissance et le test de falsification doit être soumise à l’épreuve. C’est quand on y réfléchit peu ces mises en relation sont loin d’être évidente qu’il n’y parait cependant on peut s’accorder sur trois points :
- Intentionnalité des comptes humains : ce qui donne des actions d’une réactivité
- Historicité des phénomènes sociaux qui empêche de parler d’une simple redondance des faits sociaux
- Complexité des phénomènes sociaux en fonction de degrés soumis à trop de variables. Mais les phénomènes sociaux sont très difficiles à réduire à un petit nombre de variables.
En ce qui concerne la Méthode historique :
L’histoire a reçut d’important rapport des autres sciences, parmi lesquels la relation particulière entre le générique et el spécifique que l’on évoque dans la nature de l’histoire. On a beaucoup déni sur l’histoire sa qualité de science, de processus unique de singularité. Toute connaissance scientifique est alors impossible car le problème c’est que l’histoire ne peut être observée de manière directe comme les phénomènes sociaux ou économiques et qu’on peut réaliser d’expériences pour en vérifier selon Karl Pooper sa « scientificité ».
En effet, aucun élément historique n’est reproductible : cf. la si l’on devait refaire la Première Guerre Mondiale.
L’histoire est un type de connaissance distinct des autres selon Droysen : le fait qu’il n’y a pas de lois en histoire ne signifie pas qu’on ne peut pas aller au delà du descriptif. Ce qui dans la méthode historique relève du générique, dans un certaine mesure c’est que l’évènement est une manifestation de la structure d’ensemble.
Il y a donc une méthode spécifique :
- On possède la méthode générale
- On utilise le contenu spécifique avec un changement de temporalité condition essentielle de la Recherche historique.
Pour parler de régularité, l’histoire doit impérativement obéir à une sorte de typologie entre des faits historiques. La description sous la forme du récit au nom. Elle occupe dans la méthode historique une partie importante.
D’autres plans de cette méthode, c’est la comparaison qui elle occupe une place beaucoup plus implicite. D’une certaine façon la recherche historique est comparatrice dans une comparaison diachronique car il est difficile d’appréhender le moment historique si ce n’est pas comparaison successifs des Etats sociaux en juxtaposant mentalement une condition à des conditions postérieures.
C'est comparé l’incomparable. La comparaison suppose une confrontation société contre fonction déterminée….. Normalement elle se veut globalisatrice c'est-à-dire qu’elle pour vocation différents cadres, points dans le même système et voit ses relations de chaque état par rapport au système.
Ce sont les historiens hongrois qui font cette distinction.
II- Processus historique et sa documentation :
C’est le travail de la construction, insertion de faits dans une trame. Il ne pourrait y avoir d’histoire sans connaissance qui a fait l’histoire.
La rechercher historique est produit de motivations dérivés et avouables les unes que les autres. On peut supposer qu’une partie a pris gout. Il n’y a pas de voie unique pour devenir un historien, par un seul test qui nous dit comment faire. Il faut toujours garder à l’esprit que l’histoire c’est des questions que l’on pose et qu’on fait poser aux autres.
De plus le travail de l’historien commence là ou le travail de mémoire s’arrête.
90.16.239.91 6 avril 2008 à 19:46 (CEST)amandine, 06/04/0890.16.239.91 6 avril 2008 à 19:46 (CEST)